Décidément, chère Anne, vous avez de nombreuses cordes à votre arc !
J’ai consulté votre page “ART” où vous partagez quelques-unes de vos créations.
Je ne connaissais pas le procédé du zentangle que je découvre grâce à vous.
Parmi vos créations, j’en ai relevé certaines en particulier qui me parlent beaucoup.
L’un des zentangles m’a frappé par sa structure d’ensemble qui résulte de la rencontre de mini-structures, chacune ayant son unité propre constituée de motifs qui se répètent à la manière de fractales. Cela produit une figure harmonieuse et apaisante.
Le modelage de la femme m’émeut par la tension entre la solidité de l’assise au sol et la légèreté du mouvement du visage tourné vers le haut. Cela me parle de ce que Bachelard nommait « le droit de rêver », cette liberté irréductible au déterminisme, cette percée à travers l’épaisseur du quotidien.
Parmi les cartes, les oursons sous le regard des fleurs m’attendrissent.
Je trouve aussi votre reprise originale du « Fils de l’homme » de Magritte questionnante. La superposition de l’homme au visage caché par la pomme et de ce qui m’apparaît comme un globe terrestre parsemé de figures géométriques colorées me parle de la possibilité de voir le monde autrement qu’à travers les yeux de chair, d’en recréer la cohérence par le pouvoir de l’imagination.
Quant à la femme-papillon qui contemple le mouvement des nuages depuis sa balançoire suspendue au-dessus de la mer et des rochers, elle m’enchante et me parle des perspectives inédites que découvre le regard d’altérité propre aux neuro-atypiques.
Vos créations sont une véritable «invitation au voyage» ! Et Baudelaire est tout proche…
Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.
Décidément, chère Anne, vous avez de nombreuses cordes à votre arc !
J’ai consulté votre page “ART” où vous partagez quelques-unes de vos créations.
Je ne connaissais pas le procédé du zentangle que je découvre grâce à vous.
Parmi vos créations, j’en ai relevé certaines en particulier qui me parlent beaucoup.
L’un des zentangles m’a frappé par sa structure d’ensemble qui résulte de la rencontre de mini-structures, chacune ayant son unité propre constituée de motifs qui se répètent à la manière de fractales. Cela produit une figure harmonieuse et apaisante.
Le modelage de la femme m’émeut par la tension entre la solidité de l’assise au sol et la légèreté du mouvement du visage tourné vers le haut. Cela me parle de ce que Bachelard nommait « le droit de rêver », cette liberté irréductible au déterminisme, cette percée à travers l’épaisseur du quotidien.
Parmi les cartes, les oursons sous le regard des fleurs m’attendrissent.
Je trouve aussi votre reprise originale du « Fils de l’homme » de Magritte questionnante. La superposition de l’homme au visage caché par la pomme et de ce qui m’apparaît comme un globe terrestre parsemé de figures géométriques colorées me parle de la possibilité de voir le monde autrement qu’à travers les yeux de chair, d’en recréer la cohérence par le pouvoir de l’imagination.
Quant à la femme-papillon qui contemple le mouvement des nuages depuis sa balançoire suspendue au-dessus de la mer et des rochers, elle m’enchante et me parle des perspectives inédites que découvre le regard d’altérité propre aux neuro-atypiques.
Vos créations sont une véritable «invitation au voyage» ! Et Baudelaire est tout proche…
Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.