De nombreux chefs d’entreprise successful, voire visionnaires, sont dyslexiques ou autistes.
Pourquoi ces conditions, appelées “troubles”, sont-elles en fait de puissants moteurs de réussite ? La réponse dans cet article du journal Suisse “Le Temps” (16/4/2015).
Note: On peut être entrepreneur sans atteindre le niveau de Steve Jobs, ça reste quand même une réussite. Le problème de ne parler que des autistes exceptionnels est que les autistes de la vraie vie peuvent se sentir en échec en comparaison. Il ne faut pas! L’intérêt principal de cet article à mes yeux est de montrer que les dys et l’autisme ne sont pas des freins à une activité entrepreneuriale, et ça inclut le freelance / profession libérale (“travailleur non salarié”, comme on dit dans la bureaucratie).
https://www.letemps.ch/economie/genie-handicap-se-tutoient-tete-entreprises